« Français de souche »
Quand on coupe un arbre malade ou mourant, ne demeure qu’une chose, aussi stérile qu’indéracinable : la souche.
Et celle-ci pourrira toujours, inévitablement.
« Français de souche »
Quand on coupe un arbre malade ou mourant, ne demeure qu’une chose, aussi stérile qu’indéracinable : la souche.
Et celle-ci pourrira toujours, inévitablement.